Selon les informations rapportées par le média actu.fr, une habitante de la rue Rallon à Vitré s’inquiète de la situation alarmante des chats du quartier. Elle affirme que de nombreux félins, dont son propre chat, seraient victimes d’empoisonnements et de violences physiques.
Mademoiselle C, qui a souhaité garder l’anonymat, a emménagé en décembre 2021 dans la rue Rallon, située en bas du château à Vitré (Ille-et-Vilaine).
Les « deux gros matous » du quartier seraient actuellement victimes d’empoisonnements et de violences physiques, et cela inclurait également le chat d’un habitant de la rue.
Une photo choc a été transmise à actu.fr par un témoin et selon les informations rapportées par actu.fr, elle montre l’état alarmant d’un des chats du quartier de la rue Rallon à Vitré (Ille-et-Vilaine). Sur cette image, on peut clairement voir que le félin présente de graves plaies sur le dos.
La situation actuelle est inacceptable pour elle. Mademoiselle C a déclaré : « Mon chat ne casse jamais rien. Il est doux, timide, zen et très précieux. Il n’aime pas la pluie également » soulignant l’importance de son animal de compagnie pour elle et la tristesse qu’elle ressent face à la situation actuelle.
« Il avait la langue cramée »
La propriétaire soupçonne que son chat a été empoisonné en juillet dernier. Elle a déclaré : « Il avait la langue cramée et beaucoup d’acidité dans l’estomac, » soulignant les symptômes alarmants qu’elle a observés chez son animal de compagnie.
Bien que les analyses vétérinaires n’aient pas révélé de preuves concrètes, Mademoiselle C reste convaincue que son chat de deux ans a été victime d’un empoisonnement. Elle affirme que les symptômes observés chez son animal de compagnie sont les signes d’un tel acte malveillant.
On a réussi à le sauver, mais cela a coûté 1800 euros chez le vétérinaire. Il a eu un gros traitement et il n’est pas sorti durant deux mois. Il est passé de 4,9 kg à 3,1 kg.
Quelques temps après l’incident suspecté avec son chat, un autre gros matou du quartier aurait été victime d’empoisonnement et de violences physiques, notamment des coups à la tête et sur le dos. Mademoiselle C, qui est outrée par cette situation, a déclaré : « Il n’avait plus de peau à certains endroits ».
« Je ne suis pas tranquille quand il sort »
Il y a eu récemment une disparition inquiétante d’une chatte dans le quartier. Elle était connue pour avoir ses habitudes dans le quartier et même si elle n’appartenait à personne, les habitants lui donnaient régulièrement à manger. Selon Mademoiselle C, cette chatte a disparu depuis deux mois.
Bien que Mademoiselle C n’accuse personne en particulier, elle espère que la situation actuelle n’est pas causée par une personne ayant une attitude hostile envers les chats. Elle souhaite simplement alerter sur la situation et protéger les animaux de la communauté.
Elle dévoque avec inquiétude que malgré que son chat aille mieux et recommence à sortir, elle reste nerveuse à chaque fois qu’il sort, car elle tient à lui comme à la prunelle de ses yeux.