Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a commenté la mort d’un chat, Neko, qui a été écrasé par un train de la SNCF lors de sa visite dans une SPA de l’Essonne le vendredi.
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a exprimé son émotion et sa tristesse suite à la mort de Neko, un chat, qui a été écrasé par un TGV de la SNCF en gare Montparnasse en début janvier, lors de sa visite à une SPA ce vendredi. Il a déclaré être particulièrement choqué par cet incident.
« J’ai été particulièrement choqué évidemment de ce qu’il s’est passé dans cette gare parisienne et particulièrement choqué de la façon dont la SNCF a malheureusement géré cette terrible affaire », a regretté le ministre.
Le 2 janvier, Neko, un chat, a échappé à la surveillance de ses propriétaires sur le quai de la gare Montparnasse et s’est réfugié sous un train. Malgré les supplications de sa mère et de sa fille pour récupérer le chat, les agents de la SNCF ont refusé d’intervenir. Selon l’adolescente propriétaire de Neko, les agents leur ont dit que ce n’était pas leur problème, qu’ils auraient dû tenir le chat en laisse et qu’ils ont ajouté « ce n’est qu’un chat », a rapporté l’adolescente au micro de BFMTV.
« Un manque de prise en compte de la SNCF«
La SNCF a déclaré regretter l’incident triste de la mort de Neko et a assuré qu’elle prenait en compte la condition animale. Cependant, il est formellement interdit de descendre sur les voies de chemin de fer pour des raisons de sécurité, ce qui aurait mis en danger la vie des voyageurs ou des agents de la SNCF. Cette déclaration a été faite lorsque BFMTV a contacté la SNCF pour obtenir des commentaires sur l’incident.
Selon Gérard Darmanin, il y a deux aspects importants à considérer dans cette situation : la mort de Neko, qui est un acte douloureux pour ses propriétaires, et surtout l’absence de prise en compte de la SNCF. Il a également souligné que cette situation est d’autant plus grave car il est nécessaire d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent à l’avenir.