Des espèces menacées comme des serval, des ouistitis et des perroquets étaient revendues à bas prix dans un vaste trafic organisé sur les réseaux sociaux. Quatre personnes ont été interpellées, dont une jeune femme de 22 ans soupçonnée d’être à la tête du réseau.
Quatre personnes ont été interpellées et placées en garde à vue le 30 novembre dernier dans le cadre du démantèlement d’un vaste trafic international d’espèces menacées.
« Servals, perroquets, singes, suricates ou encore écureuils achetés à bas prix à l’étranger, étaient ensuite revendues via les réseaux sociaux sur l’ensemble de la France métropolitaine », détaille dans un communiqué l’Office français de la biodiversité (OFB), qui a participé à l’enquête aux côtés de l’antenne bordelaise de l’Office centrale de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP).
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