Les animaux sont soumis à une exploitation de plus en plus fréquente à cause de leur popularité sur les réseaux sociaux. De plus, le commerce illégal d’espèces sauvages est une préoccupation pour les autorités, rapporte France info.
Des vidéos d’animaux en train de danser ou déguisés sur les réseaux sociaux attirent de nombreux abonnés : un chien américain en a 9,5 millions, un chat 2 millions. Cela représente une source de revenus pour les propriétaires grâce à des partenariats avec des marques. Cependant, pour obtenir davantage de vues, certaines présentations pourraient tourner à la maltraitance.
Une enquête prochaine
La vétérinaire spécialisée en comportement animal Hélène Gâteau repère fréquemment des signes d’inconfort chez les animaux, tels que l’hypersalivation, le léchage de babines et l’agitation de la queue. Selon elle, cela indique que l’animal est stressé. Les autorités sont également préoccupées par le commerce illégal d’espèces sauvages exhibé par certains influenceurs sur les réseaux sociaux. Dans les semaines à venir, 1500 enquêteurs experts en internet seront en fonction et lutteront contre la maltraitance animale sur les réseaux sociaux.